Double-Contrainte (injonction paradoxale) : Ecole de Palo Alto -
école de Palo-Alto, double contrainte et pathologies mentales des paysans
1) École de Palo-Alto
L’École de Palo-Alto est un courant de pensée et de recherche ayant pris le nom de la ville de Palo Alto en Californie, à partir de 1950. On le cite en psychologie et psycho-sociologie ainsi qu’en sciences de l’information et de la communication. Ce courant est à l’origine du mouvement de la thérapie familiale et de la thérapie brève. Parmi les principaux fondateurs de ce courant, on trouve Gregory Bateson, Donald D. Jackson, John Weakland, Jay Haley et Paul Watzlawick.
Bateson et son équipe lancent un pavé dans la mare de la psychiatrie, bousculent les modes de pensée traditionnels et jettent les bases de la psychologie moderne. Dans un retentissant article intitulé « Vers une théorie de la Schizophrénie », ils proposent une vision interactionnelle de la « maladie mentale » qui ouvre la voie à la thérapie familiale et systémique. Ce sont les fondements mêmes de notre conception de l’homme qui sont ébranlés puis reconstruits sur les concepts issus de la cybernétique et de la théorie des systèmes : information, contrôle, feed-back, niveaux logiques, paradoxes…
L’influence de la « première cybernétique »* sur l’École de Palo-Alto s’est traduite par le fait que le thérapeute ne considère plus son patient comme un individu isolé sur lequel il devrait poser un diagnostique psychiatrique mais s’intéresse aux interactions actuelles du patient avec son environnement qui maintiennent son problème. En d’autres termes, le thérapeute se demande comment le système maintient l’homéostasie. On passe d’une explication individuelle et diachronique à une explication systémique et synchronique.
La psychothérapie systémique est basée notamment sur la notion d’homéostasie familiale qui suppose que soigner une pathologie psychiatrique chez un membre de la famille passe par la prise en compte de toute la famille, la personne malade n’étant qu’un symptôme de la pathologie du système (famille). Le malade n’est donc plus seul « responsable » de « sa » maladie. Dans un système, ce qui vit, c’est un réseau de communication dont tous les noeuds sont en interaction les uns avec les autres (« on ne peut pas ne pas communiquer » selon la formule de Watzlawick).
Le projet débouche ainsi sur l’élaboration de la notion de « paradoxe » et la théorie du double-bind ou « double contrainte » formulée en 1956 dans leur article intitulé Vers une théorie de la schizophrénie.
2) « Paradoxe » et « Double contrainte »
Pour eux, « Le paradoxe est un modèle de communication qui mène à la double contrainte ». C’est cette situation qu’ils trouvèrent dans les familles de schizophrènes sans conclure cependant qu’il s’agissait d’une causalité linéaire vers la maladie mentale.
La théorie affirme l’existence de relations conflictuelles entre le malade psychotique et son entourage, le dernier donnant au premier des ordres absurdes et impossibles à exécuter (en résumé caricatural : je te donne l’ordre de me désobéir, sinon…). Ces ordres impossibles à respecter étant, forcément, toujours suivis de sanctions, ils entraîneraient ainsi l’apparition de la psychose.
Cette situation donne naissance à une volonté de fuite. Lorsque cette fuite n’est pas possible au sens propre du terme (par exemple si l’on est économiquement ou socialement dépendant de la personne intimant l’un des deux ordres), la fuite peut avoir lieu dans un certain nombre de névroses ou de psychoses, parmi lesquelles la schizophrénie.
2.1 Définition
On nomme double contrainte (double-bind) une paire d’injonctions paradoxales consistant en une paire d’ordres explicites ou implicites intimés à quelqu’un qui ne peut en satisfaire un sans violer l’autre. To bind (bound) signifie « coller », « accrocher » à deux ordres impossibles à exécuter avec un troisième ordre qui interdit la désobéissance et tout commentaire sur l’absurdité de cette situation d’ordre et de contre-ordre dans l’unité de temps et de lieu. Sans cette troisième contrainte, ce ne serait qu’un simple dilemme, avec une indécidabilité plus-ou-moins grande suivant l’intensité des attracteurs.
La double contrainte existe seulement dans une relation d’autorité qui ordonne un choix impossible et qui interdit tout commentaire sur l’absurdité de la situation. Dans une situation d’indécidabilité, le dilemme est une nécessité de choisir (Comme dans le Cid de Corneille où les aléa de la vie place le héros face à un choix difficile), tandis que l’injonction paradoxale est une obligation (un ordre) de choisir.
L’injonction paradoxale est bien illustrée par l’ordre « sois spontané(e) », souvent utilisé par Paul Watzlawick comme exemple, où devenant spontané en obéissant à un ordre, l’individu ne peut pas être spontané.
2.2 Différence entre injonction paradoxales et double contrainte
Dans les injonctions paradoxales, il y a toujours une possibilité de commenter sur l’absurdité, comme appuyer en même temps sur deux touches d’ordinateur, un pour commander la marche et l’autre l’arrêt. L’ordinateur peut afficher « erreur de syntaxe ». Alors que dans la double contrainte, il y a une troisième injonction qui interdit le non-choix et tout commentaire sur l’absurdité de la situation.
Dans la théorie de la schizophrénie de Bateson, les injonctions paradoxales constituent de tels ordres formulés par l’Autre (l’autorité, le pouvoir ou quelque principe intériorisé capable de mettre en jeu la survie, le développement, le confort et la sécurité). Dans un milieu familial où règne une communication pathologique, ces injonctions paradoxales visent une « victime émissaire« , le membre « schizophrénique » du système et le forcent éventuellement à s’enfermer dans une double contrainte typiquement « schizophrénique » : tenter de ne pas communiquer. Ce qui est impossible, puisque le « charabia » du « schizophrénien », le retrait, le silence verbal ou postural même est une communication (communication non verbale) .
Les injonctions paradoxales et les doubles contraintes sont des phénomènes assez courants et dépassent le cadre individuel du comportement humain pour entrer dans le comportement économique et social, des individus aux nations. Les totalitarismes sécrètent quantité de doubles contraintes qui sont hors de notre propos. Il suffit d’évoquer, pour couvrir le sujet, que les dictatures imposent toujours des injonctions paradoxales du type de « sois spontané(e) » où il ne suffit pas assez de supporter ou de tolérer cette dictature, mais encore il faut la vouloir.
2.3 Quelques exemples
a) À partir de l’analyse des films qu’il a pris à Bali, Bateson raconte qu’une mère manifeste par des mots d’amour de la langue un rapprochement tout en adoptant en même temps une conduite d’éloignement ou d’évitement par les langages corporels proxémique (distance et durée) et kinésique (geste, mimique, mouvement et posture). L’enfant ne sait pas et ne peut savoir ce que sa mère exige de lui. Il est condamné à osciller entre ces deux exigences contraires auxquelles il ne peut répondre en même temps et ne peut commenter ou discuter. L’enfant est condamné à osciller entre deux réponses d’approche et d’évitement. Quelle que soit la réponse qu’il adopte, il est puni et reçoit l’ordre de changer de réponse et d’adopter l’autre.
b) Paul Watzlawick se plait à raconter cette histoire pour illustrer la double contrainte :
Une mère rend visite à son enfant et lui offre deux cravates, une bleue et une rouge. À la visite suivante, l’enfant se présente avec la cravate rouge. La mère lui dit : « tu n’aimes pas la cravate bleue » ?
À la visite suivante, l’enfant se présente avec la cravate bleue. La mère lui dit : « tu n’aimes pas la cravate rouge » ?
À la visite suivante encore, l’enfant se présente avec les cravates bleue et rouge à la fois au cou et sa mère lui dit : « Ce n’est pas étonnant que tu sois placé en pédopsychiatrie » !
c) L’exemple illustratif le plus simple du double bind en psychologie est un enfant de parents qui se séparent ou divorcent. Comme tous les enfants, il a un lien affectif, existentiel avec chacun des deux parents. Si la rupture se passe en douceur, alors ce serait épanouissant pour l’enfant avec deux foyers et deux milieux sociaux et culturels enrichissants et épanouissants.
Le drame arrive lorsque les parents, se battent et s’affrontent, alors l’enfant est écartelé entre deux loyautés et deux liens (« bind ») qui divergent et s’affrontent. Les parents exigent de l’enfant de choisir entre l’un ou l’autre à partir de trois injonctions existentielles et primordiales pour la vie psychique et sociale de l’enfant.
- Aimes -tu ton père ?
- Aimes-tu ta mère ?
L’enfant répond : laissez moi tranquille avec vos affaires !
- Tais-toi ingrat !
2.4) Quelques contre- exemplea) Pour le Cid de corneille, dans lequel le héros doit choisir : Si je tue don Gormas [le père de Chimène], je perds Chimène.- Si je ne tue pas don Gormas [et ainsi me déshonore], je perds Chimène.- Ou bien je tue don Gormas, ou bien je ne le tue pas.- De toute façon, je perds Chimène. Ce choix est particulièrement douloureux certes (Cornéliens), mais ce choix est imposé par la nécessité, le destin, les aléas de la vie ; le cid a tout de même la possibilité d’exercer son libre arbitre. C’est un dilemme, et cela n’a rien à voir avec la double contrainte qui est un ordre de choisir dans une situation de choix impossible assortie de l’interdiction de ne pas choisir et de commenter l’absurdité de la situation. Il y a de fréquentes confusions entre dilemme et double contrainte, en prenant l’un pour l’autre.
b) Paradoxe de Langevin – Pour qu’il y ait « double contrainte », il faut et il suffit qu’ un troisième ordre qui oblige à obéir et qui interdit tout commentaire sur cette situation absurde. Sans ce troisième ordre, ce serait source d’humour et de créativité. Exemple, Albert Einstein a résolu le « paradoxe de Langevin » (Paul Langevin), où des horloges atomiques donnent des temps différents lorsqu’elles se déplacent à des vitesses différentes et où la Physique newtonienne affirme le temps constant et absolu partout. Cette résolution du paradoxe de Langevin a donné naissance à la Physique Einsteinienne.
http://arsfp.blogspot.com/2008/03/cole-de-palo-alto-double-contrainte-et.html
La double contrainte ou l’art de gérer des injonctions paradoxales
l y a certaines situations que j’ai personnellement toujours détestées et jamais bien su gérer, que j’ai redécouvertes dernièrement, curieusement à la relecture de quelques classiques de la S.F., d’Asimov. Ce sont celles de « double contrainte ».
Le « double bind » est un concept apparu en 1956, théorisé par Gregory Bateson, qui désigne une situation de paradoxe imposé. Deux obligations ou injonctions contradictoires sont reçues, qui, s’interdisant mutuellement, induisent une impossibilité logique à les résoudre ou les exécuter sans contrevenir à l’une des deux. Le terme de « knot » (nœud) est également employé pour décrire cette (terrible ! :) ) situation d’enfermement.
D’après Paul Watzlawick.
Ces deux obligations n’ont pas forcément d’évidences parallèles de temporalité ou d’énoncé. L’une ou l’autre peut tout à fait résulter d’apprentissages socio-éducatifs globaux ou très antérieurs (On nous a tous par exemple rabâché, enfants, qu’il est « mal de dénoncer »).
Or là où les robots d’Asimov se retrouvent paralysés et hors d’état de service lors de la tentative d’exécution de règles contradictoires, pour moi, l’être humain ne vaut guère mieux ! Double contrainte et stratégies d’adaptation
Le mutisme est, par exemple, un effet émergent caractéristique de ces situations. Un blocage de communication qui s’avère d’ailleurs en général une réponse complètement inadaptée, puisqu’elle les verrouille encore plus ! Il est intéressant de noter qu’il intègre même souvent un second niveau de double contrainte (interdiction de communiquer vs besoin irrépressible de le faire)
Privé de sécurité essentielle, mis en contexte incohérent et dangereux, le cerveau peut aussi être amené, comme dans tout contexte traumatisant, à adopter des stratégies ultimes de survie qui visent à dissocier cette souffrance intolérable de la pensée consciente.
Pour maintenir une cohésion vitale (individuelle ou sociale), il peut ainsi glisser vers la concession et le compromis (le syndrome de Stockholm ne revient-il pas à « annuler » une contrainte externe en l’incorporant dans son propre référentiel de règles, en sorte de cohabiter avec elle ?) ou bien encore isoler la source traumatique (de même que nos systèmes informatiques isolent les virus) pour pouvoir continuer à fonctionner normalement par ailleurs, et ainsi s’offrir un angle d’attaque différent du problème.
Tel que je le vois, une virtualisation en quelque sorte, puisque s’opère alors une scission du système psychique en deux systèmes distincts, le second étant une réplication du premier « sans production de l’erreur » – un mode sans échec ! -, qui pourra garantir la subsistance de l’individu par l’application d’autres procédures, de règles de gestion légèrement altérées mais plus adaptées au contexte imposé.
Si le système 1 contenant « l’incendie initial » se retrouve très réduit, il finira, petit à petit, par disparaître ou réintégrer l’autre, dès lors où l’individu est sorti de la situation périlleuse et où il bénéficie par ailleurs de processus curatifs naturels (ou externes). En revanche il est probable que les cas plus graves soient ceux où doivent cohabiter de façon pérenne deux systèmes psychiques larges et très différents, dont la réunion à terme est alors plus que douteuse.
Ainsi on peut comprendre que certaines situations de double contrainte peuvent être « solutionnées » par une réorganisation psychique, une transformation de l’individu par nécessité d’adaptation environnementale, mise en œuvre par nos mécanismes de défense et de survie, et dont l’extrême serait la schizophrénie (dédoublement de la personnalité).
http://2ro.fr/post/La-double-contrainte
L’école de Palo Alto et la double contrainte
Jean-François Pelletier
C’est en 1950 que le groupe de chercheurs connu comme l’école de Palo Alto a commencé à étudier le mode de communication pathologique qui existait dans les familles de schizophrènes. En 1956, ils ont publié le résultat de leur étude : « Le paradoxe est un modèle de communication qui mène à la double contrainte ». C’est cette situation qu’ils trouvèrent dans les familles de schizophrènes sans conclure cependant qu’il s’agissait d’une causalité linéaire vers la maladie mentale.
Pour ainsi résumer, disons que la communication paradoxale est un message structuré de manière telle que : a) il affirme quelque chose, b) il affirme quelque chose sur sa propre affirmation, c) ces deux affirmations s’excluent.
http://polaristo.com/jfpelletier/doctorat/012.htm
Palo Alto L’Ecole de la Communication
Résumé d’un article d’Edmond Marc paru dans In La communication, état des savoirs – éditions sciences humaines. 1998
Bateson va envisager la comm. comme un système de messages fonctionnant sous forme de boucles dans lesquelles l’énergie de la réponse est fournie par le récepteur et non par l’impact de l’élément déclencheur (importance de la notion de feed-back).
En 1956 : théorie du double bind (de la double contrainte)
L’école de Palo Alto a été marquante dans trois domaines :
- 1. En proposant une théorie nelle de la comm. : une approche systémique
- A/ la comm est un phénomène interactionnel : la comm est un processus circulaire dans lequel chaque message provoque un feed back de l’interlocuteur.
- B/ tout comportement social a une valeur communicative
- C/ la comm est déterminée par le contexte dans lequel elle s’inscrit : rapport entre personnes, cadres de l’interaction, contexte…
- D/ tout message comporte deux niveaux de signification : transmission d’un contenu informatif et expression d’une relation entre interlocuteurs.
- E/ la relation entre interlocuteurs se structure selon deux grands modèles : symétrique (relation définie comme égalitaire) et complémentaire (comportements contrastés s’ajustant l’un à lautre).
- 2. En dvlpant une méthodologie originale du changement L’école de PA distingue deux types de changement : 1, intérieur à un système qui lui-même reste stable ; 2, qui modifie le fonctionnement d’un système.
- 3. En suscitant une pratique thérapeutique novatrice, en s’attaquant au système responsable du pb, naissance de la thérapie familiale.
www.autosoft.fr/deasic/paloalto.rtf
Présentation Générale de l’Ecole de Palo Alto
L’école de Palo-Alto est une dénomination générique un peu trompeuse pour désigner un ensemble de chercheurs ayant travaillé ensemble dans la petite ville de Palo-Alto prés de Sanfransisco. Trompeuse, elle l’est pour deux raisons : d’une part, il n’y a jamais eu d’école proprement dite. Le terme désigne des chercheurs ayant eu des affinités de travail communes : la thérapie clinique et les théories de la communication inter-individuelle. D’autre part, il n’y a pas eu un mais deux regroupements de chercheurs : Bateson et Jackson dans un premier temps, Watzlawick et quelques autres dans un second temps. Ces deux temps correspondent à deux moments consécutifs et bien spécifiques du développement des recherches
Une autre notion, fondamentale en psychologie de la communication sera approfondie en 1956 sous le nom de double-bind (ou double contrainte), et se révélera d’une grande efficacité quant à son application thérapeutique
Le langage, ou plutôt les jeux de langage de Palo-Alto permettent d’éviter les écueils du nominalisme mais aussi toute forme de solipsisme, dans la mesure où il n’y a de communication que si l’autre s’impose à moi par sa présence même (d’où l’erreur faite souvent sur le constructivisme inhérent à une telle approche, qui n’est pas une forme d’autisme au monde ou de tautisme, pour reprendre le terme de Lucien Sfez).
www.autosoft.fr/deasic/paloalto.pdf
Le travail psychanalytique avec les familles
Steven Wainrib et Françoise Debenedetti
Aux États-Unis se développe à partir des années cinquante un courant de recherches sur la pragmatique de la communication et l’interaction. Grégory Bateson décrit en 1956 le « double bind » (traduit par double lien, double entrave ou double contrainte). Il s’agit d’un véritable ligotage, réalisé par une communication paradoxale, faite de messages contraignants, liés et pourtant contraires. Ces injonctions jouent sur des niveaux logiques différents.
La différence essentielle entre ces injonctions paradoxales et une simple contradiction réside dans le fait que le choix reste une solution possible quand vous êtes face à une contradiction, alors qu’une telle solution n’est même pas pensable dans le cas de l’emprise qu’exerce la communication paradoxale. Watzlawick (1972 tr.fr) en fait saisir l’effet au lecteur par la formule « Veuillez ne pas lire cette phrase. » L’effet d’injonctions paradoxales est d’autant plus délétère qu’elles sont adressées par quelqu’un dont vous dépendez affectivement, par rapport auquel vous tendez à vous situer. Le membre de la famille considéré jusqu’alors comme « malade » est désormais appréhendé comme le « patient désigné », symptôme d’un groupe dysfonctionnant mais dont il assure l’homéostasie et la pérennité.
Cette théorie a donné lieu à une pratique de double contrainte à visée thérapeutique, du type prescriptions du symptôme, à valeur de contre-paradoxe. La thérapie familiale systémique a pris son essor sur ces bases, divergeant par une approche souvent comportementaliste et qui peut sembler manipulatoire des approches psychanalytiques du groupe familial.
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